Qui suis-je ?

Après des études de droit international public et de langues (anglais et arabe), je me suis orientée vers l’analyse géopolitique.
Au cœur de ma démarche ? Cette motivation constante de comprendre et d’expliquer la complexité – parfois en apparence extrême – des rivalités de pouvoir et des rapports de force structurant les interactions humaines aussi bien aux niveaux local, national, régional qu’international. Les situations ne sont jamais binaires, elles répondent bien souvent à un enchevêtrement de logiques aux ressorts multiples et à l’ancrage historique profond excluant toute notion de déterminisme.
Passionnée par la recherche et la transmission du savoir, de 2006 à 2019, j’ai été simultanément chercheur, enseignante -j’ai obtenu en 2011 mon doctorat en géopolitique (Université Paris 8) – puis directrice scientifique d’un Observatoire du cybermonde arabophone (OCA) que j’ai développé pour le compte de l’armée française.
La souffrance des civils et mon impuissance
A travers mes nombreux séjours sur le terrain (Syrie, Territoires palestiniens, Jordanie, Liban, etc.), j’ai été confrontée à de profondes souffrances émanant d’enfants, de femmes et d’hommes.
A l’époque, je ne disposais d’aucun outil concret pour pouvoir aider les populations civiles à gérer leurs souffrances et notamment leurs traumatismes liés à la guerre, l’occupation ou la situation dictatoriale de leur pays.
En effet, des dizaines de millions d’enfants au Moyen-Orient ne connaissent rien d’autre de la vie que la guerre avec tout son lot d’injustice, de violences, destructions et privations en tout genre.
Le déclic…
Rentrée définitivement de Syrie au début de l’année 2012, j’ai assisté impuissante à la descente aux enfers de ce peuple et au sacrifice de sa jeunesse…
Au bout de trois ans d’activité au sein de l’OCA à analyser de près les impacts dévastateurs des conflits et des dictatures sur les populations du Moyen-Orient, j’ai réalisé de manière cinglante que mes travaux universitaires, aussi précis et rigoureux soient-ils, ne serviraient jamais la cause de ces populations. A l’intérieur de moi, le conflit de valeurs fut total.
C’est alors que j’ai croisé le chemin de l’hypnose, cet outil puissant de changement …
Un jour dans une salle d’attente, une BD retint mon attention. Il s’agissait d’une approche humoristique de l’hypnose qui rentra tout de suite en résonance avec mon monde intérieur. La personne qui tournait en rond, se mordait la queue et repassait en boucle toujours le même disque rayé, c’était clairement moi. La jument effrayée fuyant devant ses peurs à mesure qu’elles grossissaient, c’était encore moi.
Or « La définition de la folie, c’est de refaire toujours la même chose et d’espérer des résultats différents » (Albert Einstein). Puisant dans des ressources jusque-là insoupçonnées grâce au recours à des séances d’hypnose, j’ai alors décidé d’aborder ma vie professionnelle sous l’angle du respect de mes valeurs et convictions.
J’ai décidé de me consacrer à l’être humain dans toute sa singularité en accompagnant les individus en souffrance sur le chemin du changement. Quels que soient l’âge, le niveau social, le sexe, la nationalité ou la religion, je partage la croyance que tout le monde a le droit d’espérer un avenir meilleur avec moins de souffrance.
Or dans des situations particulièrement douloureuses, l’hypnose s’avère être un outil particulièrement efficace pour redonner l’envie de rêver et d’espérer…
Ma formation en hypnose :
J’ai choisi l’A.R.C.H.E (Académie de Recherche et Connaissances en Hypnose Ericksonienne) comme école de formation en raison du contenu pluridisciplinaire et approfondi de ses programmes, de ses supports scientifiques solides et rigoureux (voir son centre de recherche) ainsi que ses cours en neurosciences et psychopathologie divulgués par des experts universitaires reconnus. Je m’y suis formée à Paris ainsi qu’à Genève.
Mes certifications en hypnose :
- Praticienne en Hypnose ericksonienne (dont Ritmo@)
- Hypnose et Enfance
- Hypnose stratégique et systémique
Mise en garde :
L’hypnose n’est pas une médecine. En aucune manière, une séance d’hypnose ne peut se substituer à un suivi médical. Aucune prescription médicale, ni aucun diagnostic seront effectués. Dans certains cas spécifiques, je peux être amenée au préalable à demander un avis médical.
Pour plus d’informations, consultez le Code de Déontologie des Hypnologues et la Charte des bonnes pratiques de l’ARCHE auxquels j’adhère sans réserve.